La Banque Nationale est fière de lancer une initiative qui vise à attirer des professionnels qui s’identifient comme neuroatypiques au sein de ses équipes d’analystes en ingénierie de données et de scientifiques de données. Pour ce faire, la Banque a pu compter sur la collaboration d’EY Canada pour développer une expérience de recrutement sur mesure.
« Nous sommes fiers de pouvoir offrir aux candidats qui s’identifient comme neuroatypiques un processus de recrutement personnalisé qui leur permet de démontrer l’étendue de leur talent, explique Lucie Houle, vice-présidente, Culture et Talent à la Banque Nationale. Cette nouvelle approche nous permettra d’accueillir des candidats de grand talent parmi nos équipes. Merci à l’équipe d’EY qui nous accompagne dans cette démarche et appuie notre volonté d’offrir une expérience de recrutement toujours plus inclusive. »
EY a fait partie des premières sociétés de services professionnels à se doter d’un programme de neurodiversité en 2016, aux côtés d’une poignée d’entreprises avant-gardistes qui ont reconnu les compétences et la valeur que les professionnels qui s’identifient comme neuroatypiques peuvent apporter aux domaines les plus complexes de l’entreprise.
« On observe que de nombreuses personnes qui s’identifient comme neuroatypiques sont attirées par la technologie, en plus d’avoir un grand souci du détail et de faire preuve de ténacité; et pourtant, on fait encore trop peu appel à ce type de talent sur le marché du travail. Il s’agit pourtant d’une belle occasion dont peuvent tirer parti non seulement les organisations, mais aussi les collectivités, les familles et la société dans son ensemble, indique Anthony Rjeily, leader, Neurodiversité, d’EY Canada. Nous sommes ravis d’accompagner la Banque Nationale dans la mise sur pied d’une initiative qui lui permettra de créer de la valeur à long terme pour son organisation et la communauté dans son ensemble. »
Le recrutement de talents demeure un défi pour les employeurs au pays. Pourtant, les Canadiens présentant des différences cognitives inhérentes représentent environ 20 % de la population, et plusieurs d’entre eux excellent dans des champs de compétences qui gagnent en popularité, comme la réflexion analytique, la résolution de problèmes complexes et la créativité.